Milan Kundera
Compl. Titre  une vie d'écrivain
Auteurs   Brierre, Jean-Dominique (Auteur)
Edition  Ecriture : Paris , DL 2019
Collation   1 vol. (323 p.)
Illustration   couv. ill. en coul.
Format   24 cm
ISBN   978-2-35905-293-0
Prix   20 EUR
Langue d'édition   Français
Sujets   Biographies & Témoignages
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Le Touquet 1628260041084 920 BRIAdulte / Centrale / AdulteDisponible
Résumé : Évoquant les personnages de La Guerre et la Paix, Milan Kundera remarque que leur vie est un voyage dont les phases successives sont non seulement différentes, mais représentent souvent la négation totale des phases précédentes . Ce parcours en ligne brisée est aussi celui de l'auteur de La Plaisanterie. Son oeuvre est faite des mêmes contradictions. Né en 1929, destiné à une carrière de musicien, il devient poète communiste, puis romancier critique à l'égard du régime. Exclu du Parti, mis à l'index après l'écrasement du Printemps de Prague (1968), il quitte la Tchécoslovaquie sept ans plus tard pour s'installer en France. Ni dissident ni exilé, il continue toutefois à écrire en tchèque (L'Insoutenable Légèreté de l'être), avant de choisir le français comme langue unique d'écriture et d' exploration de l'existence . Paradoxal, secret, absent des médias, Kundera est considéré comme un des écrivains majeurs du dernier demi-siècle. Succès qu'il attribue, non sans ironie, au fait d'être mal compris . Avec ou sans réserves, des auteurs aussi divers que Jonathan Coe, Orhan Pamuk, Salman Rushdie ou Taslima Nasreen le regardent comme un maître, dont les réflexions sur l' art du roman questionnent leur métier en profondeur. Ce parcours artistique, intellectuel, politique et littéraire, Jean-Dominique Brierre l'a reconstitué en l'insérant dans son contexte historique, du coup de Prague (1948) à la révolution de Velours (1989), s'appuyant notamment sur ses écrits, ses entretiens et sur des témoignages inédits, notamment ceux de son ami Alain Finkielkraut et de son traducteur François Kérel.
Notes : Index